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18 déc. 2009

Gouter d'Elémentaire

Aujourd'hui vendredi, dernier jour de classe avant les vacances de Noël, les enfants d'élémentaire se sont retrouvés à la Salle Léo Lagrange pour partager avec les autres élèves des chants de Noël. Sans doute ces chants sont ils arrivés jusque chez vous ? ...

Puis l'association des parents d'élèves a offert le gouter de Noël aux élèves. Beaucoup de parents présents pour donner un coup de main. Merci !
Puis distribution : les enfants plongent dans l'IMMMMMEnse carton plein de brioches !
Quelques papillotes (encore une invention brillante d'un lyonnais !) de vrai chocolat (l'éducation au goût commence par là !)
des mandarines ...
et des boissons

L'année se termine bien !
Bonnes Fêtes de Noël à tous !


Coté Blog, silence radio jusqu'à la rentrée, à moins qu'un ou une volontaire veuille s'y coller ;-) pendant que votre blogueuse part à la tournée de France des familles !

L'as tu vu, l'as tu vu, ce joli bonhomme ...

Le Père Noël est passé en maternelle ce jeudi matin ! En images :
une fine équipe de parents a participé à la préparation de l'évènement. Qu'ils en soient remerciés !
Merci Père Noël de ta prestation cette année encore ! Merci à l'association qui nous a prêté l'âne. Vous ne le voyez pas (photos non diffusables sur ce blog) mais les enfants ont bien aimé la présence de l'âne !

On parle de nous

La FCPE Nationale parle de nous dans son journal mensuel "La revue des parents" de décembre 2009 :
"L’assiette idéale de Mouans-Sartoux. Ici, on ne rigole pas avec le bio !
Pour un tarif compris entre 2 € et 4,50 €, les élèves de Mouans-Sartoux, dans les Alpes-Maritimes, mangent des repas composés à 23 % de produits bio. Associé à une éducation sur l’équilibre alimentaire, cet engagement fort prouve que le changement est possible.
” " Nous avons fait de vrais choix, celui de servir des produits de qualité, bien préparés.” "
“ "Le pain, ça ne donne pas des vitamines, mais les fruits, ça en donne” ", affirme un blondinet à lunettes. Chaque mardi, à 16h30, dans les trois écoles de Mouans-Sartoux, les enfants apprennent à aimer les fruits. Du 16 au 20 novembre, lors de Mouv’eat, la Semaine des collectivités locales pour la nutrition, ils ont aussi été sensibilisés à la biodiversité. Ils ont visité les jardins de la Siagne, “ "sont revenus avec un gros sac de légumes et ont pu concocter une soupe en classe” ". Ils étaient aussi attendus à la Bastide des parfumeurs. Les parents, eux, ont débattu sur l’arrêt de la collation [matinale] à l’école.
Ces actions-là, à Mouans-Sartoux, ne relèvent pas de l’exception. En effet, cette commune de 10 000 habitants, ville active du Programme national nutrition santé, est engagée depuis plusieurs années dans une démarche de respect de la santé et de l’environnement et de respect des règles de nutrition. “ "Nous ne sommes pas trop pour les gadgets, du type un repas bio parmois pour nous donner bonne conscience, confirme Gilles Pérole, adjoint à l’enfance et à l’éducation. Nous avons fait de vrais choix pour la restauration scolaire, notamment celui de servir des produits de qualité et bien préparés.” "

Pour le maire André Aschieri (vice-président de l’association des Eco-maires) , il s’agit d’une volonté politique et d’un investissement à long terme. Mouans-Sartoux n’a donc pas opté pour une délégation de service public, mais pour une régie municipale, permettant de maîtriser la chaîne de A à Z. Les trois écoles ont leur propre cuisine, avec au total 18 agents. Et peu à peu, le bio s’est invité dans les assiettes des élèves. Avec la crise de la vache folle, le boeuf bio est devenu incontournable. En janvier 2008, ce fut au tour du pain. Le pain, semi-complet à base de farine de type 80, est cuit par un artisan de la ville. L’intérêt est que l’enveloppe du blé, qui contient des nutriments essentiels, est conservée. Depuis janvier 2009, les pommes – qui parfois subissent jusqu’à trente traitements avec d’être croquées ! –, les salades, les laitages sont aussi issus de l’agriculture biologique. En janvier prochain, les enfants souhaiteront la bienvenue aux pommes de terre, carottes, compotes, pâtes et autres céréales (quinoa, boulgour…) bio.

Vers une régie de production

“ "Procéder par étape permet d’être honnête vis-à-vis des familles, justifie Gilles Pérole. Lorsqu’on introduit une fois un aliment bio, il faut qu’il le reste. Sinon, personne ne s’y retrouve. Les cuisiniers doivent ajuster leurs recettes. Si ce n’est pas constant, le temps de recherche d’un plat qui plaira aux enfants ne sera pas réinvesti.” " En 2010, Mouans-Sartoux sera donc passé de 23 % de bio dans ses repas à 43 % (2) ! Soit un surcoût de 17 000 euros sur l’année pour la municipalité.
Le prochain grand projet consistera à développer des achats de proximité pour réduire le coût des denrées. “ "Pour nous, bio ne veut pas dire servir des poires bio venant d’Argentine, poursuit l’adjoint au maire. Nous avons un terrain à disposition et nous voulons donc d’ici septembre 2011 créer notre propre filière d’approvisionnement en produisant l’ensemble de nos légumes.” "
Des décisions qui sont chaque fois expliquées aux enfants et aux parents pour éviter les gaspillages notamment. Avec des jardins pédagogiques dans les écoles ou la pesée des poubelles à la fin des repas, un effort important de communication est réalisé. “ "Cet engagement pour le développement durable est très bien ressenti par la majorité des parents qui adhèrent à cette démarche, confirme Sophie De Canson, présidente de l’association de parents d’élèves FCPE de l’école Aimé Legall. Je ne sais pas bien si les enfants perçoivent bien cet aspect-là mais l’éducation au goût et à l’équilibre alimentaire est très développée, c’est certain.” " En tous cas, les enfants ont accepté de se priver de ketchup et mayonnaise et se régalent dorénavant de sauces maison.
(1) Vice-président de l’association des Eco-maires.
(2) Proportion en poids de produits bio utilisés dans un repas, et non pas en coût."

9 déc. 2009

Ouyapacours

Depuis septembre dernier, la FCPE recense en ligne les remplacements non assurés, via le site: http://www.fcpe.asso.fr/ouyapacours/

Pourquoi ?
Il s’agit de démontrer que la suppression des postes d’enseignants remplaçants, à l’Ecole primaire ou dans le secondaire, nuit aux élèves et au principe de continuité du service public. Tout parent concerné peut se connecter et donner les informations d'absences et bien sûr de remplacement quand il est mis en place.

Et chez nous ?
Sur notre département, le résultat est le suivant : 35 parents ont signalé un non remplacement d'enseignants ( 9 dans les écoles, 13 dans les collèges et 13 dans les lycées).
3 constats sur ANTIBES
1 BIOT
3 CANNES
3 CONTES
5 GRASSE
3 MOUGINS
13 NICE
1 ST SAUVEUR/TINEE
1 TOURRETTE-LEVENS
1 VALBONNE
1 VENCE
pour : 18 constats pour des absences en septembre, 8 en octobre et 9 en novembre
raisons : Prof non affecté, absence longue ou courte durée non assurée, maladie, congé parental, grippe A, etc.
remarques : faute du rectorat, absences en cascade des remplaçants, problème endémique dans l'établissement, rectorat injoignable, etc.

les indicateurs de l'Académie avec
- des résultats au dessous de la moyenne nationale au niveau des collèges et lycées,
- le plus fort taux de sorties précoces d'élèves sans formation
- le plus faible taux d'encadrement de France
nous contraignent à réagir ensemble et à demander que l'obligation de résultats de l'Éducation Nationale dans ce domaine soit respectée.

Pour en savoir plus :
http://www.fcpe06.org/ : site 06
http://www.fcpe.asso.fr/ : site national